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Guillaume, ancien V.I.E en Asie, et désormais en CDI

Peux-tu te présenter en quelques mots ?

Je m’appelle Guillaume, et j’ai 31 ans.

J’ai fait une école d’ingénieur généraliste, celle des Mines de Douai, avec un choix de majeure en Technique des Polymères et Composite. J’ai effectué un semestre à l’université Jiao Tong de Shanghai en ingénierie des matériaux, et j’ai fait mon stage de fin d’étude de 6 mois au Kyoto Technical Center, au Japon, au sein de la Business Unit des Polymères Hautes Performances. Je m’occupais notamment du support technique pour les marchés automobile et biens de consommation.

Avant ce stage, toutes mes expériences professionnelles s’étaient faites à l’étranger : Royaume-Uni, Portugal, Japon, et Chine.

Actuellement, je suis à la tête de l’équipe NPD (New Product Development) pour l’Asie, composée de six personnes qui sont basées au Japon et en Chine.

En quoi consistait ta mission ? quelles compétences étaient nécessaires ?

De 2016 à 2018, pendant mon VIE, j’étais sur des missions de NPD : gestion de projets, coordination et interface avec différentes fonctions, support pour l’industrialisation de nouveaux grades de produits. Mais aussi toute une partie sur la propriété intellectuelle : brevet (dépôt, veille concurrentielle), liberté d’exploitation etc.

Je dirais que pour ces missions, il faut un bon sens de l’organisation, savoir faire preuve d’empathie, avoir une bonne communication avec ses interlocuteurs, et bien sûr faire preuve de curiosité !

 

Comment se sont passés ton recrutement et ton intégration ?

De manière simple et spontanée je dirais ! À l’époque, la proposition a été faite par le directeur de la Recherche et Développement du Groupe en Asie, et ensuite j’ai lancé les démarches avec Business France pour finaliser tout cela.

L’intégration à quant à elle été très bonne avec les équipes sur place. Je me suis senti comme dans un cocon. L’accompagnement pour l’installation a vraiment été super également.

 

Quelles ont été tes premières impressions lorsque tu as commencé ta mission ?

J’ai été agréablement surpris par la confiance de mes managers : j’ai tout de suite commencé ma mission avec des responsabilités avec notamment la charge de plusieurs projets pour des grands comptes de la BU.

Il y a évidemment les différences de culture concernant la manière de travailler, par rapport à mes précédentes expériences à l’étranger, mais aussi par rapport à notre propre culture française.

 

Comment résumerais-tu ton VIE chez Arkema en 3 mots ?

Enrichissant, responsabilité et adaptation.

 

Comment as-tu transformé ton VIE en CDI chez Arkema ?

Je souhaitais rester chez Arkema afin de continuer le développement des projets en cours (qui peuvent prendre plusieurs mois voire années), continuer d’apprendre et de progresser, car en ce qui touche à la Recherche et Développement, même si la mécanique de développement des projets est la même, chaque nouvelle demande venant de clients amène de nouveaux défis. Il faut donc aussi de nouvelles idées pour répondre à leurs besoins.

Et au-delà de ma propre envie de rester chez Arkema, mes managers aussi souhaitaient que je reste pour continuer l’aventure ensemble !

J’ajouterais que l’essentiel, de mon point de vue, est de se challenger, de remettre en question des préceptes existants et d’avoir un esprit compétitif. Je vois notre métier de chercheur comme une compétition sportive : nous devons travailler en équipes et nous faisons face à des concurrents multiples pour délivrer les solutions les plus innovantes et le plus rapidement possible à nos clients.

 

En quoi ton VIE t’a été utile dans la suite de ta carrière chez Arkema ?

C’est un peu particulier pour moi, car je suis toujours sur place, là où j’ai fait mon VIE. Cela m’a permis de déjà connaitre de nombreuses personnes, et d’être un peu dans le « moule » de la société.

C’est une expérience incroyable pour qui veut s’intéresser à des méthodes de travail et de réflexion qui sont différentes de notre culture française. On peut ensuite essayer de capitaliser et de ressortir le meilleur de ces façons de faire.

Et bien sûr, une telle expérience permet de s’ouvrir aux autres, d’ouvrir son esprit. C’est à mon sens clé dans le monde d’aujourd’hui et encore plus particulièrement dans nos métiers liés à l’innovation.

 

Un conseil à donner à celles et ceux qui souhaiteraient faire un V.I.E chez Arkema ?

Il faut se lancer, sortir de sa zone de confort, et accepter d’être un peu « perdu » au début.

Le VIE m’a permis de rencontrer des personnes formidables. J’ai même rencontré ma femme, qui est chinoise, et nous avons désormais une petite fille !

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