• Chiffre d’affaires de 1 520 millions d’euros en baisse de 3,3% par rapport au 2T’13 à taux de change et périmètre constants
• EBITDA de 206 millions d’euros (2T’13 à 273 millions d’euros)
- Conditions de marché toujours difficiles dans les gaz fluorés
- Après un bon 1er trimestre, facteurs ponctuellement défavorables dans les polyamides et volumes inférieurs aux attentes dans les acryliques
- Solide performance des autres lignes de produits
• Bonne résistance de la marge d’EBITDA à 13,6% dans un contexte temporairement plus difficile
• Plan complémentaire d’optimisation des coûts d’environ 50 millions d’euros sur les trois prochaines années
• Dette nette de 1 106 millions d’euros en légère baisse par rapport à fin juin 2013
Déclaration de Thierry Le Hénaff
" La performance du 2ème trimestre est inférieure à nos attentes du fait de volumes plus faibles qu’attendus dans les acryliques et de plusieurs éléments spécifiques dans les polyamides. Elle ne reflète pas la qualité du portefeuille d’activités d’Arkema et des projets actuellement en cours et masque la solide performance des autres lignes de produits.
Nous restons pleinement convaincus de la pertinence de la stratégie long terme du Groupe et de sa capacité à bénéficier dans les trois prochaines années de nos différents projets en cours. Après une très forte progression des résultats d’Arkema sur les six années qui ont suivi notre cotation, les années 2013 et 2014 constituent une phase de transition marquée par la mise en place de nombreux projets de développement et des conditions de marché plus difficiles notamment dans les gaz fluorés. 2015 devrait connaître une accélération de la croissance soutenue par une contribution plus importante des projets organiques et des acquisitions, par les éléments de rebond identifiés sur les gaz fluorés et par les perspectives positives pour Arkema sur le marché du pétrole et du gaz.
Après une revue détaillée de chaque business unit, nous confirmons nos objectifs moyen terme (chiffre d’affaires de 8 milliards d’euros et marge d’EBITDA de 16%). Leur réalisation, initialement prévue en 2016, est toutefois décalée à 2017 pour prendre en compte un retour plus progressif à des conditions normalisées."