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Grâce à la mise en service réussie d’un nouveau procédé innovant, le site de Lacq/Mourenx va réduire de 28 % ses émissions de gaz à effet de serre. Le plan de réduction de ses émissions pour lequel Arkema s’est engagé franchit ainsi une étape supplémentaire.

Spécialisée dans la chimie des dérivés de spécialité du soufre, la plateforme Arkema de Lacq/Mourenx (Pyrénées-Atlantiques) possède une unité dont le processus de fabrication sous-produit des oxydes d’azote et du protoxyde d’azote.

L’évolution apportée au procédé de cette installation réduit considérablement ces émissions et permet de répondre aux besoins d’évoluer vers des procédés et des produits toujours plus respectueux de l’environnement.

"C'est un grand progrès pour le site. Outre la réduction des rejets en oxyde d'azote et de l'impact carbone, ce projet permet de faire disparaitre un panache d'une couleur orangé, source de questionnement pour les riverains du site" indique Bertrand LEROUX, Directeur du site de Lacq/Mourenx.
La technologie a été développée en collaboration avec deux fournisseurs français, Prossergy et Enercat, spécialistes du traitement des émissions industrielles. Il se distingue par sa robustesse et sa capacité à supprimer simultanément les émissions des oxydes d’azote et du protoxyde d’azote.

En ligne avec les objectifs du plan climat du Groupe de réduire de 46 % ses émissions de gaz à effet de serre entre 2019 et 2030, l’installation a été mise en marche depuis fin novembre 2022 et fonctionne conformément aux attentes.

Ce projet réussi est illustratif des investissements conséquents qu’Arkema entreprend pour rendre ses procédés moins émissifs partout dans le monde.
Nous travaillons également sur l’efficacité énergétique et l’évolution du mix énergétique de nos activités industrielles. Nous prévoyons un effort d’investissements estimés à environ 400 millions d’euros d’ici 2030 pour accompagner le déploiement de notre plan climat »

Lancé en 2020 et terminé fin 2022, le projet de l’installation de traitement a représenté un coût de 3,6 millions d’euros et a été financée à hauteur de 32 % par le Gouvernement dans la cadre du plan de Relance opéré par l’ADEME.

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